Une bonne partie de la recherche linguistique ne suppose pas d'instrument particulier. Les travaux en linguistique ont cependant à gagner à intégrer les outils fournis par le TAL (Traitement automatique des langues) et par l'informatique de manière plus large. L'apport sera d'autant plus fructueux si l'on ne se cantonne pas à des emprunts de ressources ou de techniques et si s'approfondit le dialogue entre les savoirs de chaque discipline
