Cet article met en contraste l’interrogation en anglais et en français dans le discours théorique par le biais de la traduction. La fréquence de la question en français s’oppose à sa rareté en anglais. En français, la question met en place un co-énonciateur fictif dont le point de vue n’est pas pris en compte. En anglais, l’interrogative imbriquée laisse l’imbriquante opérer un ancrage énonciatif. De cette façon, une distance modale, mais non intersubjective, est créée en anglais.
